Bienvenue à BDO

notre expert en transport et logistique… et le vôtre !

Analyser, évaluer et optimiser les flux

Comment optimiser la chaîne logistique des entreprises qui utilisent la voie d’eau à Bruxelles ? Pour quelles entreprises un transfert modal vers la voie d’eau pourrait être pertinent ? En quoi le transport fluvial peut être avantageux ? C’est à ces questions qu’une équipe de quatre experts  s’attèle depuis avril, tous issus du département Transport et logistique de BDO, un bureau à renommée internationale actif dans 162 pays. Parmi leurs clients en Belgique : Infrabel, Brussels Airport, ou encore De Vlaamse Waterweg. Roel Peeters et Louis Lippens, avec le support d’Helen De Schutter et Eric Duchesne, ont entrepris d’analyser les flux de marchandises entrants et sortants pour chaque mode de transport – route, rail et fluvial – afin d’avoir une vision des demandes et besoins à la fois des gestionnaires de ces infrastructures de transport, et de ceux qui les utilisent, les transporteurs. 

La solution face à la congestion ? Un modal… ET mental shift

Bruxelles, avec Anvers, comptent parmi les villes les plus embouteillées d’Europe. Une des causes ? 70% des transports de marchandises y sont réalisés par la route. Et ce pourcentage reste constant, voire croissant si personne n’agit. Or, une des clés face à cette importante congestion est connue : diminuer le transport routier au profit d’un essor du transport fluvial et ferroviaire. « Mais convaincre une entreprise qu’un modal shift peut être bénéfique n’est pas chose facile », nous affirme Roel. « Car même si l’on atteste de la faisabilité et de la pertinence du projet, il reste encore à ce que l’entreprise accepte de le mettre en oeuvre. C’est ce qu’on appelle le ‘mental’ shift, nécessaire à la réussite du ‘modal’ shift ». 

Quelle cible ?

BDO va se concentrer prioritairement sur les entreprises situées dans un rayon de 100 km autour de Bruxelles et qui livrent ou retirent des marchandises dans la capitale, en priorité celles du secteur de la construction et des FMCG. Selon Roel, il est important de ne pas négliger le retour de ces marchandises. « Si on étudie comment organiser l’évacuation de terres de chantier bruxellois, il est primordial de réfléchir en parallèle aux flux entrants des matériaux qui seront nécessaires à la construction. De même pour le verre, étudier les flux ‘in’ de bouteilles doit aller de pair avec l’étude des flux ‘out’ des vidanges. 

Comment profiter de cette expertise en tant que client du Port ?

Vous souhaitez en savoir plus sur les possibilités de transfert modal de vos flux de marchandises ? Prenez contact avec Roel Peeters et Louis Lippens. Ils sont tous deux régulièrement présents au siège social du Port les jeudi et vendredi. La confidentialité des échanges sera évidemment garantie. 

En pratique : Roel et Louis réalisent généralement un premier screening à l’aide d’un questionnaire qu’ils ont eux-mêmes élaboré et qui permet de déterminer si l’entreprise peut ou non envisager d’adapter ses modes de transport. En plus des échanges avec l’entreprise, ils analysent ses flux de marchandises, son équipement, mais aussi l’équipement des quais à proximité, etc. avant de déterminer quels changements concrets doivent être entrepris.

Contact : bdo@port.brussels - M : +32 (0) 477 20 51 51

Published on 11/06/19