Pas avec un téléphone ordinaire, mais avec un mobilophone maritime! Contrairement à un téléphone mobile, un mobilophone maritime est un émetteur-récepteur. L'émission et la réception ont lieu par ondes radio sur VHF (very high frequency). Le grand avantage est qu'il y a toujours quelqu'un de joignable.

En Belgique, les bateliers sont donc obligés d'avoir un mobilophone maritime pour les bateaux de plaisance de 7 mètres et plus. Tous les autres navires doivent avoir une ou deux mobilophones à bord.

En tant qu'outil de communication entre les bateliers, les navires ou les ponts et les écluses, le mobilophone est très important en cas d'urgence ou pour annoncer le passage d'un bateau à un pont levant, par exemple. Car sur l'eau aussi, la sécurité est bien sûr primordiale.

Un terminal à conteneurs est souvent un spectacle coloré d'énormes blocs de Tetris. Chaque entreprise peint son conteneur dans ses propres couleurs. De cette façon, les gens peuvent rapidement découvrir quel conteneur appartient à quelle entreprise.

Mais souvent, les couleurs ne sont pas choisies au hasard. Par exemple, saviez-vous que les conteneurs frigorifiques sont toujours blancs. En effet, comme cela, ils absorbent le moins de chaleur possible. Logique, n’est-ce pas ? 😉

Avez-vous encore d’autres questions sur le port ? N'hésitez pas à les poser ici !

 

La pêche à l'aimant est devenue de plus en plus populaire ces dernières années. Mais est-ce autorisé sur le canal ? La réponse courte est non. Et nous vous expliquons pourquoi.

Les pêcheurs à l'aimant repêchent les objets métalliques hors de l'eau à l'aide d'un aimant lourd. Cela comporte d'énormes risques pour la sécurité. Vous pouvez pêcher non seulement du vieux fer, les voies navigables qui existaient déjà à l'époque des guerres mondiales peuvent être remplies de munitions, de grenades, de bombes, etc.

Lorsque les pêcheurs ramènent ces objets dangereux à la surface, il est impossible de prévoir ce qui pourrait se passer. Cela est non seulement très dangereux pour les environs, mais aussi pour les éventuels résidents.

Gardons donc le canal sûr pour tout le monde !

En 2021, le Port de Bruxelles a transporté quelque 47 262 EVP. Un record pour le Port, mais qu'est-ce que cela signifie concrètement et quel type de marchandises transportons-nous dans des conteneurs ?

EVP signifie unité équivalent vingt pieds et est une mesure standard utilisée dans l'industrie pour les conteneurs. Ainsi, 1 EVP correspond à un conteneur de 6,10 mètres de long, 2,44 mètres de large et 2,59 mètres de haut.

Dans un tel conteneur on peut stocker une grande quantité de marchandises. Par exemple: des jouets, des meubles de jardin ou des vêtements, qui sont ensuite distribués aux quatre coins de la région !

Le Port vous apporte tout cela !

En janvier 2017 l’Atelier Marin a lancé la construction d'une réplique d'un vaisseau de guerre de Louis XIV, « La Licorne ».

Le projet de l’ASBL Atelier Marin est né de la volonté de faire découvrir à ses visiteurs une nouvelle facette historique et artistique du port de Bruxelles. Des jeunes défavorisés et des adultes en insertion socio-professionnelle ont participé activement à sa construction, sur le site de COOP à Anderlecht.

Envie de visiter La Licorne vous-même ? Ce sera possible lors de la Fête du Port le 29 mai prochain avant qu’elle ne parte aux Pays-Bas pour un long voyage.

Les panneaux solaires au Port sont installés sur le toit de notre siège social, à la capitainerie et aux écluses.

Les quelque 379 panneaux solaires au total produisent 104,87 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation de 52 ménages.

L’électricité verte que produisent ces panneaux nous permet d’aller encore plus loin dans une direction plus ‘verte’ et durable.

Eclusier, capitaine, grutier, ingénieur, CEO d’une grande entreprise ou ouvrier…. Les profils les plus divers travaillent au port de Bruxelles.

Ils ne sont pas moins de 9 000 en tout, et toutes leurs activités et expériences apportent vie et dynamisme au port. Ensemble, ils font battre le cœur du port !

Sur les voies navigables également, il existe des limitations de vitesse, ou vitesses de navigation, que les conducteurs doivent respecter. Ces vitesses dépendent du type de navire et varient également en fonction de la voie d’eau. Sur le canal maritime reliant Bruxelles à l'Escaut, par exemple, la vitesse maximale de navigation se situe entre 8 et 20 km/h.

Ces limitations de vitesse ne sont pas inutiles. En effet, si les bateaux naviguent trop vite, ils provoquent des vagues importantes qui peuvent endommager les quais, les berges ou les autres bateaux. La navigation à vitesse réduite est également plus durable, plus économique et plus sûre pour tous les utilisateurs de la voie d’eau !